INTERDEPENDANCE
Cette série questionne la situation migratoire actuelle en mettant en image les liens historiques entre l’Afrique et l’Europe.
Ce travail est une suite de photomontages réalisés à partir d’images d’archives de la période coloniale au Congo.Ces photos anciennes sont juxtaposées à des images de plages du nord de l’Europe.
Chaque image raconte une histoire qui fait parfois référence aux conditions migratoires d’aujourd’hui ou encore à l’histoire coloniale afin de mettre en évidence les liens socio-économiques qui unissent le Nord et le Sud.
La transparence des images d’archives évoque l’invisibilité et l’amnésie commune, celle d’une partie de l’histoire oubliée et cachée, une histoire qui nous hante par ses fantômes et ravive nos mémoires .
Cette transparence suggère aussi le manque de visibilité des personnes qui vivent ces situations de déracinement.
Dans ce travail, les visages sont partiellement effacés, de façon à ne pas afficher l’individualité de la personne photographiée, mais de porter attention à l’action ou aux contextes de ces images.
L’artiste peint avec de la couleur or sur certaines images pour évoquer la face cachée de ce passé, la richesse accumulée.
Les tirages de 110X170 cm sont réalisés sur tissu et se placent en suspension dans l'espace de façon à encourager la circulation entre les images. Les jeux de lumière et des transparences font ainsi pleinement partie de l'expérience.
Ce travail est une suite de photomontages réalisés à partir d’images d’archives de la période coloniale au Congo.Ces photos anciennes sont juxtaposées à des images de plages du nord de l’Europe.
Chaque image raconte une histoire qui fait parfois référence aux conditions migratoires d’aujourd’hui ou encore à l’histoire coloniale afin de mettre en évidence les liens socio-économiques qui unissent le Nord et le Sud.
La transparence des images d’archives évoque l’invisibilité et l’amnésie commune, celle d’une partie de l’histoire oubliée et cachée, une histoire qui nous hante par ses fantômes et ravive nos mémoires .
Cette transparence suggère aussi le manque de visibilité des personnes qui vivent ces situations de déracinement.
Dans ce travail, les visages sont partiellement effacés, de façon à ne pas afficher l’individualité de la personne photographiée, mais de porter attention à l’action ou aux contextes de ces images.
L’artiste peint avec de la couleur or sur certaines images pour évoquer la face cachée de ce passé, la richesse accumulée.
Les tirages de 110X170 cm sont réalisés sur tissu et se placent en suspension dans l'espace de façon à encourager la circulation entre les images. Les jeux de lumière et des transparences font ainsi pleinement partie de l'expérience.
